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- Officiers et anciens élèves -



Louis DUPREY 

(1669 - 1731)

 

 

 

Né vers 1669 au CARBET, MARTINIQUE - Décédé le 28 août 1731 à FORT-ROYAL, GUADELOUPE.

Fils de Pierre et de Claude de BREMOND

Marié le 14 février 1695 avec Marie Françoise Le PELLETIER.

Arrière grand-père de Louis Nicolas du PREY de la RUFFINIÈRE (GM 1783)
 


"Colonel réformé des Milices.

Il participe à plusieurs expéditions contre les Hollandais et les Anglais et à la défense de la MARTINIQUE et de la GUADELOUPE. SAINT-EUSTACHE et SAINT-CHRISTOPHE en 1689; MARTINIQUE en 1693 (fait Garde-marine et lieutenant des troupes détachées par le Roi à cette date : mention dans l'acte d'anoblissement); GUADELOUPE en 1703; MONTSERRAT en 1712; CURAÇAO en 1713 ... Présence attestée lors de l'affaire de GAOULÉ en 1717.

Anobli en 1721 pour ses faits d'armes, (d'azur à deux fasces d'argent et deux étoiles d'or en chef), enregistrement par le Conseil Souverain de la MARTINIQUE en 1722.

Louis DUPREY est à l'origine des branches DUPREY de La RUFFINIÈRE, DUPREY DUMOSE, DUPREY La JANVERIE, DUPREY La MOINERIE, du MOSE HOUEL du PREY de La RUFFINIÈRE".

Remerciements pour cette communication à Mr Patrick LABAIL, descendant et pour ce document :

Enregistrement par le Conseil souverain de la Martinique des lettres

De noblesse de Louis Duprey, colonel de milice.Martinique

Fils de Pierre DUPREY dit l’Espérance époux de Claude de BREMOND, branche de Bossée ; recensé dans les défenseurs de le Martinique, Bataille de rhum,1674 .


Du vendredi 2ème janvier 1722

Le Conseil supérieur de l’île Martinique où a été(…)Monsieur le Chevalier de Feuquières, gouverneur et lieutenant général des îles du vent de l’Amérique, Monsieur Bénard, conseiller du roi en ses conseils, intendant de justice, police, finances et marine des dites îles, président du dit Conseil, Mr de Valmenière, Chevalier de St Louis(…) du Roi, Mr Durieux, chevalier du dit ordre, major général de cette île, Mr Mesnier, conseiller du Roi, commissaire de la marine, ordonnateur, premier conseiller des conseils supérieurs des dites îles ;MM Hourdin conseiller honoraire, Desprez , doyen, de Girardin père, conseiller honoraire ; Leguay, Féburier père, Reguet fils, Girardin fils, Rabault de Choisy, de Lascaris ( ..),l’Homme de Montigny et Féburier.

Mr Périnelle Dumay, conseiller Procureur Général du Roi et Mr Moreau greffier en chef du dit Conseil. (dans la marge gauche :MM.Thibault conseiller honoraire=entré ainsi que Mr Poisson et Thibault fils conseillers)

Vu la requête présentée au conseil par le sieur Louis DUPREY colonel de milice en cette île, tendant à ce qu’il plût au conseil ordonner l’enregistrement des lettres de noblesse à lui accordées par Sa Majesté ; une copie collationnée des dites lettres par SAINSON, conseiller secrétaire du Roi, maison, couronne de France et de ses finances, datées à Paris au mois d’août dernier, registrées au parlement de Paris le 14 dudit août ; vu aussi le règlement d’armoiries pour le sieur Duprey en conséquence des lettres ci-dessus, donnée par le sieur d’HOZIER juge d’armes et garde de l’armoirie générale de France le six du dit août, signé dudit sieur d’HOZIER et scellé de ses armes, voulant de ce jour rendre sur la représentation des dites lettres qui nomme Mr RABAULT conseiller rapporteur :vu le rapport du dit Mr RABAULT et vu les conclusions au (..) du Roi.

Le Conseil a ordonné que la dite copie collationnée des lettres de noblesse accordées au dit sieur DUPREY sera enregistrée ès registres du greffe de la Cour, pour le dit sieur DUPREY et ses enfants nés et à naître en légitime mariage, jouir de l’effet et contenu en icelles selon leur forme et terme en rapportant par la dit sieur DUPREY dans le délai de six mois l’original en forme des dites lettres dont il lui sera donné acte=Benard=

 

Lettres de noblesse du Mr DUPREY Suit la teneur :

Louis par la grâce de Dieu, Roi de France et de Navarre à tous, présents et à venir, salut. Les services de nos sujets établis dans nos colonies, qui , par leur valeur et leur expérience, se distinguent dans les différents emplois qui leur sont confiés, ne nous étant pas moins agréables que ceux de notre royaume et le titre de noblesse étant la marque la plus éclatante dont nous puissions les honorer, nous avons cru ne pouvoir refuser cette faveur singulière à notre cher et ami le sieur Louis DUPREY, colonel dans un régiment des milices du Fort Royal de la Martinique, dont les services continuels depuis trente- sept ans qu’il a embrassé le parti des armes lors qu’il n’était encore âgé que de quatorze ans, sont des témoignages authentiques de son zèle et de son attachement. Il commença à donner des marques de sa valeur en qualité d’enseigne de milice dans la dite île sous le commandement du sieur comte de BLENAC, Gouverneur et Lieutenant général des îles du vent, lors de la réduction de l’île de St Eustache en 1689,sous l’obéissance du feu Roi notre très honoré Seigneur et bisaïeul ; il fut ensuite commandé en qualité de lieutenant d’une compagnie de milice dans le temps que la partie anglaise de l’île de St Christophe fut soumise à notre domination et il s’y distingua en tant d’occasions qu’il lui fut accordé pour lors le rang d’aide major des dites milices ;il se trouva pareillement à l’expédition de l’île de la Trinité espagnole, où son courage l’ayant emporté au milieu des ennemis, il fut dangereusement blessé d’un coup de fusil à travers la hanche ; il continua à donner de nouvelles preuves de son intrépidité et de son expérience lorsque les Anglais firent une descente aux îles de Marie Galante et la Guadeloupe, où, quoiqu’ils eussent treize vaisseaux mouillés dans les rades des dites îles et qu’ils fussent supérieurs en force, ils furent contraints de se retirer sans commettre aucune hostilité par la bonne contenance des troupes des dites îles et par l’activité et la diligence du sieur DUPREY qui fut chargé par le sieur DERAGNY, lors gouverneur et lieutenant général des îles du vent de porter conjointement avec le sieur DUPREY les ordres nécessaires et d’aller à la découverte des ennemis et dans cette occasion étant montés sur la barque La Marquise, armée seulement de six canons et de cinquante hommes, ils furent attaqués par un bateau des ennemis armé de six canons et de quatre- vingt hommes contre lesquels ils combattirent l’espace de deux heures et lui tuèrent vingt- cinq hommes sans en avoir perdu qu’un seul de leur troupe, ensuite de quoi ils se rendirent sur la même barque à La Martinique où le même général le chargea de porter des secours de farine à La Guadeloupe, et quoi que cette île fut encore investie par l’escadre entière des Anglais qui lui bouchait les passages, il ne laissa pas d’y entrer malgré leurs efforts et de sortir de même à la faveur de la nuit pour se rendre à La Martinique où ayant donné avis au sieur DERAGNY que la dite île de La Guadeloupe était en très grand danger d’être saccagé par les ennemis, le dit sieur d’ERAGNY ordonna un détachement de six cents hommes pour la secourir et chargea du commandement de quatre cents le dit sieur DUPREY en qualité de major. Mais à peine leur descente était- elle faite que les Anglais s’étaient retirés. En l’année 1693 les Anglais ayant aussi fait une descente à La Martinique et ayant été défaits, le sieur DUPREY se comporta avec tant de valeur en cette occasion et ses services furent si agréable au gouverneur des dites îles qu’il le détacha pour porter au feu Roi notre seigneur et bisaïeul, la nouvelle de cette défaite, et pour récompense il fut fait garde marine et lieutenant d’une des compagnies aux dites îles. Ces nouveaux grades augmentèrent son ardeur pour le service et en donna encore des preuves en l’année 1704 ayant été détaché sous les ordres du sieur de GABARET pour aller au secours de La Guadeloupe qui avait été une seconde fois attaquée par les Anglais. Au retour de cette expédition il fut fait lieutenant- colonel de milice au Fort Royal et ayant donné dans les fonctions de cette commission de nouvelles preuves de son expérience il obtint en 1711 celle de colonel réformé dans le régiment.

L’année suivante il se trouve à l’expédition de Montserrat et fut chargé du commandement des six cents hommes. Enfin il a eu cet avantage qu’il ne s’est point trouvé d’occasions pour la défense et l’agrandissement de la dite colonie où ses supérieurs, rendant justice à sa valeur, ne l’aient employé, comme il paraît par les certificats du Gouverneur et Lieutenant Général et des autres commandants pour nous aux dites îles, en sorte qu’il s’est rendu recommandable non seulement par ses services personnels, mais encore par ceux de feu sieur DUPREY son père lequel étant officier dans les milices de la Martinique a donné des preuves de sa valeur en plusieurs occasions et particulièrement lors de l’attaque que firent les Hollandais dans la dite île en 1674.

Nous avons d’ailleurs été informés que le mérite particulier dudit sieur DUPREY est encore soutenu par une naissance distinguée, étant issu par sa mère de la maison de BREMOND, ancienne noblesse de notre province d’Anjou dont elle portait le nom et les armes. Les deux fils dudit sieur DUPREY actuellement officiers dans les régiments des milices du Fort Royal donnent lieu d’espérer qu’à l’exemple de leur père ils ne laisseront rien à désirer de leur valeur et qu’ils continueront de signaler le zèle qui les a jusqu’à présent animés pour notre service.

Toutes ces circonstances nous ont déterminés à donner au dit sieur DUPREY les témoignages les plus précieux de notre satisfaction et à honorer des prérogatives qu’il puisse transmettre à ses descendants à ses causes, de l’avis de notre très cher et très aimé oncle le Duc d’Orléans petit fils de France, régent de notre royaume. Nous avons anobli de notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, anoblissons par ces présentes, signées de notre main le dit sieur Louis DUPREY et du titre et qualité de noble et l’avons décoré et décorons, voulons et nous plait qu’il soit tenu, censé et réputé noble tant en jugement que dehors, ensemble ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles nés et à naître en légitime mariage ; que comme tels ils puissent prendre en tout lieu et en tous actes la qualité d’écuyer et parvenir à tout degré de chevalerie et autres dignités et qualités réservés à la noblesse, qu’ils soient inscrits dans le catalogue des nobles et qu’ils jouissent et usent de tous droits, prérogatives, privilèges, franchises, libertés, prééminence, exemptions et immunités dont jouissent et ont accoutumé de jouir les anciens nobles de notre royaume ; comme aussi qu’ils puissent requérir, tenir et posséder tous fiefs, terres et seigneuries nobles, de quelque titre et qualité qu’elles soient. Permettons au dit sieur DUPREY et à ses enfants et postérité de porter des armoiries timbrées telles qu’elles sont réglées et blasonnées par le sieur d’HOZIER Juge d’Armes de France, et ainsi qu’elles seront peintes et figurées dans ces présentes, auxquelles son acte de règlement sera attaché, sous le contre sceau de notre chancellerie, avec pouvoir et liberté de les faire peindre, graver et inculquer si elles ne le sont déjà, en tels endroits de leurs maisons, terres et seigneuries que bon leur semblera, sans que pour raison de tout ce que dessus le dit sieur DUPREY, ses enfants et postérité puissent être tenus de nous payer et à nos successeur Rois aucune finance et indemnité dont à quelque somme qu’elle puisse monter nous leur avons fait et faisons don par les dites présentes, et sans qu’ils puissent être troublés ni recherchés pour quelque chose, occasion et prétexte que ce soit, à la charge par eux de vivre noblement et sans déroger.

Si donnons en mandement à nos aimés et féaux, conseillers, les gens tenant notre cour de Parlement, Chambre des Comptes, et ceux des aides à Paris ; Présidents trésoriers généraux de France au bureau de nos finances établis au dit lieu, comme aussi à nos aimés et féaux les gens tenant notre Conseil Supérieur de la Martinique, et à tous autres nos officiers et justiciers qu’il appartiendra que ces présentes ils aient à faire enregistrer et du contenu d’icelles faire jouir et user le dit sieur DUPREY, ensemble ses enfants et héritiers nés et à naître en légitime mariage, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessant et faisant cesser tous troubles et empêchements quelconques, nonobstant tous édits, déclarations, arrêts, règlements et autres choses à ce contraires aux dérogatoires y contenues, nous avons dérogé et dérogeons par ces présentes, pour ce regard seulement et sans tirer à conséquence, car tel est notre plaisir et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous fait mettre notre sceau à ces présentes.

Donné à Paris au mois d’août, l’an de grâce mil sept cent vingt et un et de notre règne le sixième : Louis et sur le repli, par le Roi, le Duc d’Orléans régent présent, signé. Fleuriau. Visa d’AGUESSEAU. Pour anoblissement à Louis DUPREY, signé : Fleuriau. Registré. Oui le Procureur Général du Roi pour jouir par l’impétrant, ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles nés et à naître en légitime mariage de leur effet et contenu et être exécutées selon leur forme et teneur suivant l’arrêt de ce jour. A Paris en Parlement le quatorze août mil sept cent vingt et un signé : GILBERT. Collationné à l’original par nous Conseiller Secrétaire du Roi, Maison, Couronne de France et de ses Finances signé SAINSON avec paraphe.

( …)

A Paris le quinze juillet 1721 ; Signé Louis, et plus bas Fleuriau et scel et cachet
 

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NB : texte in extenso communiqué par les Archives Départementales de la Martinique extrait des annales du Conseil souverain de la Martinique ; les parties (…) sont illisibles. Années 1719-1721 pp 186-189.

Selon Isidore Guet « Colonel François de Collart et la Martinique de son temps »(en ligne sur Google) Louis Duprey est présent dans les expéditions suivantes :

1689 : St Eustache contre les Hollandais et St Christophe contre les Anglais.

1693 : défense de la Martinique contre les Anglais.

1703 : défense de la Guadeloupe contre les Anglais.

1705 : nommé lieutenant- colonel.

1706 : expéditions contre les Anglais : Guadeloupe, St Christophe.

1712 : attaque de Montserrat.

1713 : attaque de Curaçao contre les Anglais. Escadre commandée par Jacques CASSARD, ancien corsaire, neveu de Surcouf.

1717 : Louis Duprey est présent dans l’affaire dite « Gaoulé ».

1722 : expédition sur Ste Lucie sous les ordres, du marquis de CHAMPIGNY
 

Ces lettres de noblesse ont été accordées sur la recommandation d’Isaac de PAS marquis de FEUQUIERE, Gouverneur général des Isles du Vent en date du 26 avril 1721 (Source en ligne, ANOM-IREL. Administration de FEUQUIERE).Orthographe respectée.

Recommandation en faveur du Sieur DUPREY Colonel de Milices qui mérite les lettres de noblesse.26 avril 1721.( source:administration de Feuquières, correspondances, ANOM)

« Indépendamment de la lettre commune que Mr BENARD et moy avons l’honneur d’escrire au Conseil, au sujet du mémoire que nous lui envoyons des services du sieur DUPREY colonel de milices de cette isle, que son incommodité des yeux oblige d’aller en France chercher du remède à son mal par l’opération de la cataracte et en même temps pour postuler des lettres de noblesse que je trouve qu’il mérite autant au moins que feu le sieur COLLART son cousin. J’ay aveu ne pouvoir me dispenser d’en écrire à votre altesse sérénissime, et de le supplier de vouloir bien l’honorer de sa protection à ce sujet.

Sans parler icy, Monseigneur, des anciens services du sieur DUPREY rendus en ces isles sous mes prédécesseurs, et sans rappeler à votre altesse sérénissime ce que par ma lettre au Conseil du 18 décembre 1718 j’ay mandé des démarches et conduite du sieur DUPREY, en envoyant sa déposition avec toutes les procédures tant contre le sieur DUBUCQ que contre les autres exceptés, j’auray seulement l’honneur de lui dire qu’ayant eu depuis occasion de connaître plus particulièrement le sieur DUPREY par son expérience, son exactitude, ses lumières et sa probité, je me crois dans l’obligation de rendre justice à la vérité et d’assurer votre Altesse sérénissime qu’en récompensant le zèle, l’attachement et la fidélité dudit sieur DUPREY par des lettres de noblesse, ce sera le porter à redoubler d’attention pour le service du Roy, et l’exciter encore davantage à ne rien épargner de ce qui dépendra de luy pour se rendre digne de cette grâce, laquelle pourra aussi servir d’aiguillon aux autres bons sujets de sa Majesté qui sont en ces îles à mettre tout en usage par leur application à leurs devoirs et leur zèle aux interests du Roy, pour obtenir de lui une pareille faveur.

Sur ce qui m’est revenu qu’il y a eu peu de Gouverneurs généraux qui n’ayant pas obtenu de semblables grâces pour ceux qu’ils en croyaient dignes j’ose avouer à votre Altesse sérénissime que ce me ferait une satisfaction bien sensible de pouvoir contribuer à la (illisible) du sieur DUPREY et je puis luy protester avec vérité et connoissance de cause, que je croirois en cela faire chose autant utile au service de sa Majesté, qu’avantageuse et honorable au dit sieur DUPREY. Sa conduite en toutes choses a toujours esté si régulière que quoyque chargé d’une grosse famille dont les deux aisnés qui promettent beaucoup sont déjà Lieutenant et Enseigne de Milices, il n’a pas laissé de faire une fort bonne maison où il vit très honorablement, et par son économie avec plus d’aisance que nombre d’autres habitants qui se croyent plus riche que lui.

Enfin Monseigneur, il est homme d’esprit, droit et d’un vray mérite et votre Altesse Sérénissime en pourra juger par elle-même si elle a la bonté de luy accorder quelques momens d’audience, je la supplie très humblement de l’honorer en cela de sa protection et d’être toujours bien persuadée du très profond respect avec lequel je suis et seray toute ma vie » .

De votre Altesse Sérénissime

Le très humble et très obéissant serviteur

de Pas de Feuquières
 

Au Fort Royal de la Martinique 26 avril 1721

Correspondance de FEUQUIERES du 20 juillet 1724(demande de Croix de ST louis)

« Monseigneur, je regarderai comme une très grande faveur si à ma très humble supplication vous vouliez accorder à Mr DUPREY et à Mr de la TOURNERIE chacun une place dans l’ordre de St Louis, le Roy a favorisé le premier de lettres de noblesse ; et il est certainement très digne de l’autre grâce, outre que cela contribuerai à faire revenir l’émulation parmi les officiers de Milices qui ne se croyeroient point exclus des grâces de sa Majesté ».

 

 

Remerciements à Patrick Labail

Remerciements à Gilles Jogerst / Généamar pour ses recherches et la mise à disposition de ses données

http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/liste_sujet-1.htm


 

 

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