-
Officiers et anciens élèves -
Jean Louis Henri Victor SARLAT
(1830 - 1886)
Né le 15 mars 1830 à
ROCHEFORT (Charente Maritime) - Décédé le 9 septembre 1886
Fils de Jean,
Lieutenant de vaisseau, 32 ans en 1830
Entre dans la Marine en 1846
Aspirant le 1er août
1848
Enseigne de vaisseau le
11 juin 1853; port ROCHEFORT.
Lieutenant de vaisseau
le 4 mars 1861
Chevalier de la Légion
d'Honneur le 30 décembre 1865.
Au 1er janvier 1869,
pas d'affectation connue.
Capitaine de frégate en
1871
Entre au noviciat des Bénédictins de SOLESMES en juin 1875 et y
célèbre sa première messe le 28 mai 1883.
Avant d'entrer à
SOLESMES, il avait chargé son beau-père Jacques Louis DUCORPS
d'utiliser le plus clair de sa fortune pour financer la construction
d'écoles libres à ROCHEFORT. " (Source / Mr Bernard DUCORPS,
descendant).

Extrait Le Gaulois / 12
septembre 1886

Extrait Revue du monde
catholique
Extrait "Le Général de
Sonis, d'après ses papiers et sa correspondance"
.../...
A Rochefort, il fut
heureux de prendre pour compagnon de route un capitaine de frégate
qu'il avait autrefois connu en rade d'Alger, et avec lequel il était
en très intime liaison d'esprit et de sentiments. Il s'appelait
Victor Sarlat, et son nom va bientôt prendre une place importante
dans la correspondance de M. de Sonis. M. Sarlat, alors âgé de
quarante -quatre ans, avait les plus beaux états de services dont
puisse s'honorer un officier de marine. Entré très jeune dans ce
corps d'élite, il y avait conquis ses grades et ses décorations dans
les expéditions de Crimée, de Syrie et du Mexique, puis dans la
guerre franco-allemande et dans les combats contre les insurgés de
la Commune.
Il était lieutenant de
vaisseau lorsque, vers 1865, il s'était marié à une femme tendrement
aimée; mais elle lui était ravie au bout de dix-huit mois d'union et
trois mois seulement de séjour avec lui. (décédée en 1865 à 22 ans).
Il ne s'en consola jamais. Officier de la Légion d'honneur,
capitaine de frégate en 1871, il pouvait aspirer aux plus hauts
grades; mais d'autres ambitions sollicitaient son cœur. Sonis, qui
lisait dans ce cœur, y avait deviné, dès l'Algérie, des germes de
vocation à la vie parfaite qui devaient éclore un jour. Ces deux
soldats étaient des âmes fraternelles.
.../...
Source web
/ PDF / 30 mo

Remerciements Stéphane
Giran
Remerciements Bernard
Dulou
Remerciements à Gilles Jogerst / Généamar pour ses recherches
et la mise à disposition de ses données
http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/liste_sujet-1.htm
Retour Officiers
et anciens élèves
|