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- Ingénieurs du Génie maritime -



Honoré Louis JOBERT

(1789 - 18..)

 

 

 

Né le 21 février 1789 à GEVIGNEY (Gevigney-et-Mercey) (Haute Saône) - Décédé

Fils de Louis et d'Anne Françoise ADAM

 

Elève de Polytechnique en 1806

 

 

Sorti dans le corps du Génie maritime, il n’a pas suivi les cours de l’école d’application alors à Brest

Affecté à Toulon en qualité d’élève non admis en juin 1808

En février 1810 affecté à Civitavecchia pour y diriger la construction d’un brick.

Sous-ingénieur de 2e classe (décret du 11 janvier 1811).

 

 

Muté à Cherbourg en février 1812

En 1814 affecté à La Guadeloupe avec un détachement d’ouvriers militaires de la Marine De Basse-Terre,

En avril 1815, Il sollicite du ministre l’autorisation d’épouser la fille du médecin en chef de la colonie

Il passe ensuite sans autorisation à Saint-Thomas pour se marier,

 

(Rapport de Molé à l’appui de l’ordonnance de mise à la retraite, qui est datée du 10 décembre 1817)

« Il n’avait pas droit à une retraite, à moins qu’on ait considéré deux ans plus tard qu’il n’était pas compris dans l’organisation du 9 décembre 1815 et qu’on lui ait accordé la retraite proportionnelle prévue dans ce cas, puisqu’il avait le minimum de dix ans de services.

Cette pension est très faible, vu qu’il n’avait pas dépassé le dernier grade du corps.

L’hypothèse est vraisemblable si le contact a été perdu pendant l’année 1815.

Si de plus Jobert est un bonapartiste, Molé a pu lui faire une "fleur" car sa disparition est suspecte et aurait dû déclencher une enquête / « »--- Références : Bernard Lutun (X 1974)

 

 

 

Biographie polytechnique

Sorti dans le corps du Génie maritime il n’a pas suivi les cours de l’école d’application alors à Brest Affecté à Toulon en qualité d’élève non admis (juin 1808), puis (février 1810) à Civitavecchia pour y diriger la construction d’un brick. Sous-ingénieur de 2e classe (décret du 11 janvier 1811). Muté à Cherbourg en février 1812 puis à La Guadeloupe en 1814 avec un détachement d’ouvriers militaires de la Marine De Basse-Terre, il sollicite du ministre l’autorisation d’épouser la fille du médecin en chef de la colonie (avril 1815). Il passe ensuite sans autorisation à Saint-Thomas pour se marier, d’après le rapport de Molé à l’appui de l’ordonnance de mise à la retraite, qui est datée du 10 décembre 1817 il n’avait pas droit à une retraite, à moins qu’on ait considéré deux ans plus tard qu’il n’était pas compris dans l’organisation du 9 décembre 1815 et qu’on lui ait accordé la retraite proportionnelle prévue dans ce cas, puisqu’il avait le minimum de dix ans de services. Cette pension est très faible, vu qu’il n’avait pas dépassé le dernier grade du corps. L’hypothèse est vraisemblable si le contact a été perdu pendant l’année 1815. Si de plus Jobert est un bonapartiste, Molé a pu lui faire une "fleur" car sa disparition est suspecte et aurait dû déclencher une enquête / --- Refer. : Bernard Lutun (X 1974)

 

 

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Remerciements Bernard Dulou

 

 

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