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- Officiers et anciens élèves -

 

 

Paul Justin Henri Marie GUIRAUD

(1881 - 1925)

 

 



Né le 9 mai 1881 à BAZIEGE (Haute-Garonne) - Décédé le 1er mai 1925 à SAINT MANDRIER (Var)


Entre dans la Marine en 1899

Aspirant le 5 octobre 1902; port BREST.

Au 1er janvier 1903, sur l'aviso-transport "DURANCE", division navale du Pacifique (Henri ROZIER, Cdt).

Enseigne de vaisseau le 5 octobre 1904.

Officier breveté Torpilleur.

Au 1er janvier 1911, sur le cuirassé "RÉPUBLIQUE", 1ère Escadre (Pierre DARRIEUS, Cdt).

Lieutenant de vaisseau le 16 octobre 1912.

Chevalier de la Légion d'Honneur 

Au 1er janvier 1917, port LORIENT.

Fin décembre 1917, Commandant le contre-torpilleur "PIQUE".

 

Concepteur de grenades sous-marines auxquelles fut attribué son nom.

Citation à l’ordre de l’armée dont il fit l’objet, pour son attitude lors du torpillage du "GARD", de la Compagnie générale transatlantique, survenu le 26 mai 1918.
 

 

Journal officiel du 31 août 1918, p. 7.676.

 

Récompenses pour actes de bravoure attribuées par la Société centrale de sauvetage des naufragés à l’état-major et à l’équipage de la Pique pour le sauvetage du personnel et des passagers du Gard, torpillé le 26 mai 1918.

Société centrale de sauvetage des naufragés ― Annales du sauvetage maritime, 1er et 2e trim. 1919 : Bâtonnier Busson-Billaut et commandant de Larosière, « Rapport sur les récompenses attribuées aux sauveteurs de la mer », p. 38.
« TORPILLAGE DU VAPEUR « GARD » (26 mai 1918).
 


Médaille d'or du vice-amiral Ernest de Jonquières au lieutenant de vaisseau GUIRAUD.

Le torpillage du Gard a fait peu de victimes grâce au lieutenant de vaisseau GUIRAUD, commandant le torpilleur la Pique, dont les hautes qualités de courage, de sang-froid, de décision et de sens manœuvrier, ont brillé dans la circonstance.

Malgré le danger et les difficultés que présentait l’opération, il n'a pas hésité à accoster le Gard pour sauver les passagers restant à bord, dont une partie, sans cette manœuvre audacieuse, aurait été vraisemblablement noyée, le bâtiment se fermant comme un livre, vingt minutes après l'évacuation de cinquante minutes de durée. »

 

Extrait L'Ouest-Eclair / 5 mai 1925


 

Remerciements Daniel Laheyne

Remerciements à Gilles Jogerst / Généamar pour ses recherches et la mise à disposition de ses données

http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/liste_sujet-1.htm

 

 

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