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Officiers / Hors EN -
François Palamède de SUFFREN
(1753 - 1824)
Né le 27 avril 1753 à SALON DE PROVENCE (Bouches du Rhône) - Décédé
le 27 août 1824 à SALON DE PROVENCE (Bouches du Rhône)
Fils de Laurent de SUFFREN et de Jeanne de RÉGIS
Marié le 4 avril 1780 à Arles avec Catherine MEYRAN de LAGOY,
Marquis
Enseigne de vaisseau assiste à la bataille de la Grenade en 1779
Capitaine de vaisseau, escadre de d’Estaing et Barras
Emigre pendant la révolution en 1794, toutes ses possessions sont
vendues comme biens nationaux.
Extraits de ses mémoires des guerres d’Amérique
Extrait de wikipédia
Devenu botaniste, après une formation en 1785, il parcourt les
montagnes italiennes Visite les environs de Paluzza, Moggio, Ampezzo,
Verzegnis, accède aux sources du Tagliamento et aux montagnes qui
séparent Carnia de Cadore.
Dans ses Principes de botanique... il se définit comme un voyageur
expert ayant visité l’Amérique et l’Afrique à plusieurs reprises
ainsi que l’Espagne et l’Italie. Il commence à étudier la botanique
en 1785 en se consacrant à la flore de Savoie, du Piémont et de Nice
À l’automne 1800, avec le comte d’Attimis, il explore les
embouchures du Tagliamento.
Le résultat de ces quatre années de travail est un herbier qu’il
laisse au Liniusso et un manuscrit contenant un catalogue d’environ
1250 plantes, un certain nombre considérable pour une flore de ce
genre et de cette époque[8], qu’il confia à Nicolò Concina avant de
quitter le Frioul. En 1802, Concina publia le manuscrit. L’herbier,
en revanche, a été perdu
L'amnistie décrétée 26 Avril, 1802 par Napoléon à tous émigrés est
la cause la plus probable du retour de Suffren en France. Hériter de
la maison de famille (son père Laurent est mort le 11 mai 1799)
Le 31 janvier 1803, il devient membre de l’Académie des sciences de
Turin.
Il se consacre à un travail sur les figues. En 1808, il fait un tour
de la côte jusqu’à Nice pour vérifier 40 espèces et variétés de
figues qu’il avait déjà dessinées et essayer d’en ajouter d’autres
En 1813, il obtient du ministre de l’Intérieur, grâce à l’Académie
de Marseille, la somme de 200 francs pour un voyage autour de Gênes.
Le résultat de ce voyage est la découverte de 52 autres espèces de
figues
Il essaie d’obtenir un deuxième prêt pour un voyage dans les
Pyrénées et en Catalogne. Mais il n’y parviendra jamais
Capitaine de vaisseau le 31 décembre 1814
Remerciements Bernard Dulou
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