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- Officiers et anciens élèves -

 

 

Georges René Victor DAGRON

(1922 - 2014)

 

 

 

Né 27 novembre 1922 à PARIS XVIe (Seine) - Décédé le 12 février 2014 à PARIS XVIIIe

Obsèques le mardi 18 février 2014 en la chapelle Saint Louis de l'Ecole Militaire,  Paris VIIe.

Fils de René Georges DAGRON, ingénieur et secrétaire général de la Société de Touage et Remorquage, habitant au 5 rue Dupont des Loges à Paris-VIIème en 1925, croix de Guerre 1914 - 1918 et de Marguerite Augustine Thérèse DESCHIENS, frère de l'historien Gilbert Gaston DAGRON et de Gérard Paul DAGRON.

Marié à Marie-Thérèse GIORGETTI

Petit fils du docteur Georges René Dagron et de Lucile Juliette Marie Domage

 

Entre dans la Marine en 1942.

Enseigne de vaisseau de 2ème classe le 31 mars 1944.

Enseigne de vaisseau de 1ère classe le 31 mars 1945.

Lieutenant de vaisseau le 3 octobre 1950.

 

Extrait Cols Bleus / 18 juillet 1953

 

 

Idem au 1er janvier 1959. 

Capitaine de corvette

 

Capitaine de corvette (H)

 

Port matriculaire TOULON 

 

Breveté des Transmissions

 

Chevalier de la Légion d'Honneur

Médaille des Évadés
 

 

Complément :

Octobre 1942 n’était sans doute pas le meilleur moment pour rentrer à l’Ecole Navale de Toulon, mais Georges Dagron ne pouvait pas le savoir.

Le stage à peine commencé est brutalement interrompu par le sabordage de la Flotte.

Les élèves officiers sont dispersés dans de grandes écoles parisiennes.

Georges Dagron fera partie de ceux qui choisiront de rallier l’Afrique du Nord par l’Espagne.

La Marine les enverra suivre un an les cours de l’Ecole Navale créée à Casablanca.


Un embarquement sur le bâtiment de ligne Richelieu , intégré dans l’East Indies Fleet permettra à Georges Dagron de participer en Extrême - Orient aux derniers mois du conflit. Le Richelieu est envoyé ensuite en Indochine pour y appuyer notre retour.

Lorsqu’il repart pour la France en janvier 1945, Georges Dagron fait partie de ceux que le bâtiment laisse à terre. Affecté à une compagnie de transmission de l’armée de terre, il participe sur l’Emile Bertin à l’opération d’Haïphong. Il fera partie des premiers marins qui rentreront dans Hanoï libéré.

A peine rentré en France, il repart fin 1946 pour Madagascar, à bord de l’aviso hydrographe La Pérouse. L’île est alors agitée par une insurrection et le La Pérouse apportera son soutien aux troupes chargées de la « pacification ».

Commandant d’un bâtiment de débarquement, le LCH 9055, il participera en 1956 avec le Groupe amphibie à l’opération de Suez.

 

Ecrivain

 

 

 

Source web

Remerciements Franck Tomi

Remerciements à Gilles Jogerst / Généamar pour ses recherches et la mise à disposition de ses données

http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/liste_sujet-1.htm

 

 

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