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- Officiers et anciens élèves -

 

 

Martin Marie Charles BOUDENS de VANDERBOURG   

(1765 - 1827)

 

 

 

 

Né le 8 juillet 1765 à SAINTES (Charente Maritime) - Décédé le 16 novembre 1827 à PARIS (Seine)

Fils de Charles Benoît Boudens de Vanderbourg, lieutenant-colonel commandant du bataillon de garnison de Beauvais, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, et de Marie Magdelaine Berry (fille du maire de Saintes Jacques Berry).

 

Extrait de Wikipédia

Etudes classiques à l’école militaire Elfiat

Admis comme gentilhomme dans l’Ecole militaire de Paris le 4 octobre 1779

Sous lieutenant le 8 juillet 1781, à l’âge de 16 ans

Attaché à la marine militaire, embarqué sur la frégate l’Hermione

Campagne dans l’Inde

Lieutenant de vaisseau en 1788-1789

Emigré en 1793, inscrit du 24 septembre 1793

Émigré sous la Terreur et sous le Directoire en Allemagne, où il devint l’ami de Jacobi et de Stolberg.

Rentré en France en 1802,

Chevalier de Saint Louis le 23 juillet 1814, le nommant par erreur capitaine de frégate

Capitaine de frégate le 31 décembre 1814,

Il se fit connaître par la publication des Poésies de Clotilde de Surville que la plupart des critiques, Raynouard, Daunou, et plus tard Sainte-Beuve et Villemain, regardèrent comme une contrefaçon habile du xv eme siècle. Vanderbourg en soutint l’authenticité et prétendit n’avoir fait qu’éditer un manuscrit communiqué par les héritiers du marquis de Surville, sauf des retouches dont il laissa ignorer l’importance.

Nommé, en 1814, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres

Censeur en 1815

 

Extrait La Quotidienne / 18 novembre 1827

 

Outre des écrits philologiques publiés dans les Archives littéraires de l’Europe, le Publiciste, le Mercure étranger, le Journal des savants, etc., on lui doit des Mémoires dans le recueil de l’Académie des inscriptions, des articles dans la Biographie universelle ; les traductions de Waldemar, par Jacobi (1796, 2 vol.), du Laocoon, de Lessing (1802,), du Voyage en Italie, par Meyer (1802, )du roman de Cratès et Hipparque, par Wieland (1818, 2 vol.); une traduction en vers des Odes d’Horace (1812, 2 vol. )

 

 

 

Remerciements Bernard Dulou

 

 

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