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- Ingénieurs d'hydrographie -
Barthélémy BENOIST
(1785 - 18..)
Né le 21 août 1785 à
LANGRES (Haute Marne) - Décédé
Fils d’un géomètre
arpenteur.
Juin 1803 : il est
inscrit sur les registres des gens de mer en qualité de novice
timonier.
Juillet 1803 : il entre
comme élève dans le corps des ingénieurs hydrographes.
1805-1806 : il fait une
campagne à Cadix sur des bâtiments de l’escadre de ROSILY, il est
embarqué comme élève hydrographe sur le brick l’Observateur puis la
frégate la Cornélie.
Mars-Mai 1808 : il
opère sur l’embouchure de l’Escaut.
Juin 1808-Septembre
1808 : il travaille dans le golf de Venise.
Avril 1811-Octobre 1811
: il est affecté sur les côtes septentrionales de l’Empire.
Mai 1812-Octobre 1812 :
il est à l’embouchure de la Gironde.
Mai 1813-Octobre 1813 :
il est à nouveau sur l’embouchure de la Gironde puis sur le bassin
d’Arcachon.
6 juin 1814 : il est
nommé dessinateur.
Octobre 1815-Décembre
1815 : affecté à l’embouchure de la Gironde.
Toutes ces années il
fait partie de l’ossature des équipes employées sur les côtes de
France sous la direction de BEAUTEMPS-BEAUPRE.
1816-1820 : il opère en
Méditerranée en compagnie de GAUTTIER-DUPARC, embarqué sur la
gabarre la Chevrette.
20 janvier 1819 : il
est nommé Ingénieur hydrographe de troisième classe à 2500 francs
d’appointements.
Selon
BEAUTEMPS-BEAUPRE, « La part qu’il prend depuis trois ans aux
observations de GAUTTIER, dont les résultats ont tant d’importance,
prouve qu’il a acquis les talents d’un ingénieur hydrographe ».
28 avril 1821 : il est
fait Chevalier de la Légion d’honneur.
1824. 1826 : il opère
sur les côtes occidentales de France.
1er mai 1829 : il est
promu ingénieur de deuxième classe.
1832. 1834-1835.
1836-1838 : il travaille sur les côtes occidentales de la France
sous la direction de BEAUTEMPS-BEAUPRE.
25 août 1841 : il prend
sa retraite après 38 ans de service.
Dossier Légion
d'honneur /
Lien web
SOURCES : bio Benoist,
O. Chapuis, Au ciel comme à la terre, Beautemps-Beaupré et la
naissance de l’hydrographie moderne. Base Léonore, LH/179/38.
Remerciements Patrick
Labail
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