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Mascotte -
A ma connaissance, il
n'y a pas eu de mascotte à l'Ecole navale. Si ce n'est pas le cas,
je suis preneur de toutes informations
Des photos seront
ajoutées régulièrement, si vous revenez, pensez à actualiser la page
ou faire F5
Sur les bâtiments de la
Marine nationale jusque dans les années 70, il était possible d'en
rencontrer.
Brigade de l'amiral Ronarc'h en 1914
Remerciements Marie Détrée / En
savoir plus /
Lien web
1915, brigade de l'amiral Ronarc'h
1918, sur un chalutier
dragueur de mines
Remerciements Photo / Christophe Rochet
Défense Toulon
Remerciements Photo / Christophe Rochet
Remerciements Photo / Christophe Rochet
Février 1928 / Rochefort
Remerciements D. Cazenave
Extrait Cols bleus / 16 janvier 1971
16 juillet 1941 / Défilé
des fusiliers-marins (1er RFM) avec leur mascotte à BEYROUTH.
Remerciements Aline
Calippe
LYBIE 1942 1ère DFL
Remerciements Aline
Calippe
1941 SYRIE Le Cdt AMYOT D'INVILLE, commandant le 1er RFM avec son
chien.
Remerciements Aline
Calippe
1941 Le 1er RFM avec sa mascotte.
Remerciements Aline
Calippe
Source / Jacques Omnès : Quand mon père était marin
(1937 - 1945) /
Lien web
Commando Kieffer
Remerciements Photo / Christophe Rochet
Extrait Cols bleus / 3 février 1973
Sur le "Fringant"
Affectation ?
Remerciements José Tapia
Sur la "Jeanne d'Arc",
en 1950
Passage de la Ligne sur
le "TCD Orage" pour un chien en transit.
Commandos marine
1957 - 1958 / Fusiliers marins
Mascotte du commando de Montfort / Année ?
La jeune mascotte du Groupement des Hélicoptères de l'Aéronautique
Navale n° 1 (GHAN-1)
qui en 1959 et 1960 regroupait les 321, 32 et 33F en Algérie
Source / Forum Cols Bleus
1960, chez les nageurs de combat
Cols Bleus n° 747 du 19 mai 1962
Extrait Cols bleus / 8 novembre 1969
Sur l’ "Albatros" / 1990
Remerciements Photo / Jean Maurice
Tassin
Feuille de service / 3 mars 1994 / CIN Brest
Remerciements Photo / Jean Maurice
Tassin
Tarzan / Nemours - 1959 / Mascotte du commando Jaubert
Promotion au grade de Quartier Maître de 1ère classe / Boris
Source / Forum Cols Bleus
Extrait Cols bleus / 5 juin 1971
Marie Lou, mascotte de l'ARCTURUS
Remerciements Thémistocle Capitaine Haddock /
Facebook
Article Cols Bleus
Mascotte de l'Aviso Escorteur F726, Commandant Bory. Plus
précisément, elle y fut embarquée, le navire étant en escale à l'île
Maurice, le 27 janvier 1976.
Voici comment. Une bande de joyeux bouchons gras, comprenez les
mécaniciens du bord, rentraient d'une visite dans les Jardins de
Pamplemousse.
Près du rivage, le regard de l'un deux fut attiré par un chien et
son maître.
A première vue, l'animal était en train de se noyer, aidé par
l'homme qui semblait tout faire pour tenter de la sauver.
C'est du moins ce que pensèrent les spectateurs car rapidement, ils
comprirent que c'était le contraire.
Lhomme n'était autre que le propriétaire du chien et souhaitait
visiblement s'en débarrasser.
Bien malgré elle, la joyeuse équipée assistait à la scène.
Réalisant ce qui était en train de se passer, les matelots
s'approchèrent du propriétaire du chien.
On ne sait pas grand-chose de la discussion qui s'ensuivit ; juste
que l'homme, passablement éméché, accepta le quart de rouge proposé
par les marins en échange du chien.
S'en saisissant, le lâche abandonna son chien aux bons soins de la
bordée.
Voilà comment, ce jour là, les mécanos du Commandant Bory
négocièrent l'animal et l'échangèrent contre un quart de rouge.
Comme sil avait comprit qu'il leur devait la vie, le chien suivit
les marins qui le ramenèrent, en douceur cette fois, sur l'Aviso.
Tous s'aperçurent qu'il s'agissait, en réalité, d'une petite
chienne.
A bord, il était de notoriété publique que le premier maître
mécanicien de la machine arrière adorait les chiens.
Il était surnommé Jeannot.
On fit donc les présentations.
Plus que ravi, le patron s'occupa immédiatement de la petite
chienne.
Mais avait-il le droit de la garder à bord ? Rien n'étant moins sûr,
il décida de cacher sa passagère clandestine, déterminé à ne plus la
voir quitter le bord.
Comme la complicité entre la chienne et le patron était évidente, le
nom de la mascotte s'imposa de lui-même.
Ce sera Jeannette ! Puis, l'Aviso gagna la haute mer. C'est
seulement après quelques jours d'une quarantaine forcée que
Jeannette apparut au grand jour, trottinant gaillardement de
coursive en coursive et de poste en poste.
Du pacha aux matelots du Bory, tous adoptèrent immédiatement la
nouvelle mascotte du Bory.
Unanimement acceptée, elle fût, quelques jours plus tard,
officiellement inscrite au rôle de l'équipage.
Choyée et dorlotée, tous n'avaient de cesse de lui rendre la vie la
plus agréable possible.
Heureuse initiative qu'avaient eue les permissionnaires en goguette
de lavoir amenée à bord.
Tous étaient convaincus de lavoir sauvée dune mort certaine.
Au fil du temps, Jeannette s'avéra être une chienne exceptionnelle.
Affecté dans les Forces Maritimes de l'Océan Indien, c'est à bord du
même Bory que Jeannette gagna la Polynésie.
Appréciant diversement la traditionnelle cérémonie de baptême en
tant que néophyte, la mascotte traversa sans encombre la ligne
équatoriale.
Durant toute sa carrière maritime, elle passera la ligne une sacrée
paire de fois.
Ces jours de fêtes n'étaient pas pour lui déplaire car au carré,
l'ordinaire était toujours amélioré.
A son retour en métropole après campagne, le Commandant Bory fût mis
en IPER.
Rien d'autre pour le navire que d'aller faire peau neuve dans le
port militaire de l'arsenal de Lorient.
Pour la première fois, Jeannette faisait connaissance avec la
Bretagne.
Embarquée comme simple matelot, elle gravît un à un tous les
échelons jusqu'à être promue Major.
Elle participa aux patrouilles dans les pays du Golfe lors du
conflit armé qui voyait s'affronter Iran et Irak.
Pour sa courageuse participation, elle fût proposée puis
récipiendaire de la médaille d'Outre-mer avec l'agrafe Ormuz.
Elle fût également décorée de la médaille de la Défense Nationale.
En fin de carrière, Jeannette avait à son actif plus de 735 000
miles nautiques de navigation.
Traversant tous les océans et les mers de la planète, elle avait à
son actif plusieurs tours du monde.
Asie, Australie, Océanie, autant de continents dont elle avait connu
les ports.
Originaire de l'île Maurice, aimée et appréciée de tous, la mascotte
quitta le bord peu de temps après avoir revu sa terre natale.
Après une carrière exceptionnelle sur l'aviso escorteur, Jeannette
s'en alla le 19 août 1989.
Douloureux jour que celui de ce départ sans retour.
Accusant le coup de cette irréparable perte, l'équipage était
orphelin.
Partout, du pont principal à la passerelle de navigation, des postes
équipages à la cafétéria, des cuisines aux machines, l'ombre de la
petite chienne planait.
Le manque était à la mesure de l'affection que tous lui portaient.
Cols bleus, le magazine officiel de la marine nationale lui rendra
un hommage appuyé.
Il dira de Jeannette dans ses colonnes : Le 19 août 1989, s'éteint
avec elle, une des plus lointaines traditions de la marine. Elle
était l'une des dernières mascottes officielles embarquées de la
marine nationale.
Le Major Jeannette fut effectivement parmi les toutes dernières
mascottes embarquées sur les bâtiments de la marine nationale.
Elle fut, pour tous les marins qui la côtoyèrent, le plus beau
souvenir de leur embarquement sur le Commandant Bory.
Avant Jeannette, Pilou, un adorable chien au pelage noir et blanc
fut également mascotte à bord de l'aviso escorteur.
Il laissa à tous ceux qui l'ont connu un souvenir qui ne s'est
toujours pas effacé.
Histoire écrite sous le pseudo de Skagerrac. Remerciements à
l'auteur Claude Le Guével
2011 / Fusiliers marins
Afghanistan
Ils étaient aussi sur
les anciens sous-marins, par soucis de veille au niveau du dioxyde
de carbone (CO2) et du monoxyde de carbone (CO)
Mascotte du "Topaze"
Remerciements Photo / Christophe Rochet
Tango, mascotte du Sous marin "Monge"
Remerciements Gilles Jogerst
Mascotte du sous-marin "Psychée"
/ Nom : "Casa"
La mascotte du
sous-marin "Rubis"
Sur la "CURIE"
Source web
Aout 1964 / Picpic / Sous-marin "MORSE"
Mascotte du S638 Morse, de 1964 à 1967. Le sous-marin, et c'est peu
banal, fut construit aux Chantiers du Trait situé à une cinquantaine
kilomètres de la mer. A la fin de sa construction, l'équipage
affecté à bord arrivait à la base au compte goutte. Tous étaient
provisoirement logés dans une petite baraque proche du chantier
naval, logement provisoire que l'on avait baptisé Pic-Pic. Le
Chantier du Trait était en effet implanté sur une ancienne usine
textile. Un truc du genre, papa pique et maman coud ! Un jour, c'est
aux abords de cette antique fabrique que l'équipage trouva un chiot.
Il s'agissait d'une adorable petite femelle à la robe blanche et
noire. Faisant ni une ni deux, les marins l'adoptèrent et
baptisèrent leur nouvelle mascotte du nom de l'endroit. On ne
pouvait plus logique ! Comme l'ensemble de ses congénères embarqués
sur les sous-marins, Pic-Pic avait pour mission de détecter les
émanations nocives de CO2. Etonnamment performant, ce chien
réagissait à bord du Morse à moins de 1%. Aussi, dès qu'il
commençait à geindre et s'agiter, bien que la teneur en CO2 n'était
pas encore considérée comme dangereuse, l'animal trottinait en
direction de l'échelle du kiosque, aboyait et demandait à sortir. La
mascotte du sous-marin avait une autre spécialité. Au poste de
combat, elle prenait un malin plaisir à faire des crocs en jambe au
commandant, d'où le surnom qui lui fut donné, Pic-Pic croc en
jambes. Autre singularité, si elle mangeait à table avec l'équipage,
c'était dans une assiette. Si jamais petite chienne était attachée à
son unité et aux marins qui l'entouraient, c'était bien elle. Au
cours de sa longue carrière, la mascotte du Morse effectuera pas
moins de 12 023 heures de plongée dont 2 622 heures de Schnorkel. En
1967, les augures de la marine nationale mirent officiellement un
terme à la présence de chiens à bord des sous-marins français.
Avancées technologiques aidant, on jugea en effet qu'ils n'y étaient
plus d'aucune utilité. Après de bons et loyaux services, c'est le
premier avril de la même année que le quartier maître chef Pic-Pic
fut dégagé des obligations militaires. La petite mascotte du Morse
fut recueillie par un ingénieur maritime qui l'emmena chez lui.
Bonne âme grâce à laquelle Pic-Pic profita longtemps du bocage
normand.
Remerciements histoire / Claude Le Guével
Source Facebook / 29 octobre 2021
Au travail :
En 1914, à Paris, avec
les fusiliers marins
Aumonier des fusiliers marins sur le Front de l'Yser / Vers 1915
Commandant de l'Ecole
des fusiliers marins à cheval
Autres animaux :
Autres armes :
En 1958, un légionnaire
de la "13" (13e Demi-brigade de Légion étrangère) en opérations
trouve un âne crevant de faim dans le djebel.
Le légionnaire le
ramène à la base et la bête devient la mascotte de l’unité sous le
nom de « Bambi ».
Une
photo paraît dans le « Daily Mail » de Londres.
La Légion se voit remettre un diplôme
pour services distingués par la "Société américaine pour la lutte
contre la cruauté envers les animaux" ainsi qu’un hommage de la «
Société Royale pour la protection des Animaux » (RSPCA) de Londres.
Anonymat oblige, la récompense fut
donnée à titre collectif.
Aujourd’hui, le 2e Étranger
d’infanterie a aussi un âne pour mascotte, nommé Tapanar.
Immatriculé en tant qu’animal
militaire, il dispose à ce titre d’une solde permettant son
entretien et un caporal-chef est chargé de veiller sur lui. Il
participe aux prises d’armes et représente dignement les mules des
anciennes compagnies montées.
Autres pays :
Humour :
En savoir plus et
photos /
Lien web
Remerciements Bernard
Dulou
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